un dossier édifiant
la dernière campagne lançée par le C2DS qui nous donne de quoi réfléchir sur ce qu'est une menace et comment y palier ntout en évitant de tomber soi même dans le piège de la désinformation !!!
la dernière campagne lançée par le C2DS qui nous donne de quoi réfléchir sur ce qu'est une menace et comment y palier ntout en évitant de tomber soi même dans le piège de la désinformation !!!
vous pouvez télécharger la dernière présentation de l'intelligence culturelle, mode d'emploi
différencier les trois étapes de la "modernité" dans laquelle nous vivons: la société de l'information (1970/1980), la société du savoir (1980/2000) et la société émergente de l'intelligence; les différencier est indispensable pour comprendre ce qui se passe aujourd'hui aussi bien dans le web 2.0 que dans la compétitivité internationale (ex guerre économique!), voici un texte de référence peu connu
retracer l'histoire du développement durable dans ses apports mais aussi dans ses doutes, au travers de l'histoire d'une des associations qui en a été le moteur COMITE 21, nous permet de comprendre et de réfléchir sur les enjeux et les alternatives réelles des stratégies actuelles de développement durable tant au niveau de l'état, de l'entreprise ou du citoyen.
les propositions du comité 21 pour le Grenelle de l'Environnement clarifient la compréhension d'un agenda 21 national; à consulter de toute urgence sur le site du comité 21, ou à télécharger ici
une des actions les plus spectaculaires de l'intelligence économique est certainement la prise en compte dans les données stratégiques et économiques des actifs immatériels, trop souvent oubliés ou maltraités dans les analyses comptables et financières. la marque, l'image, le nom, la qualité de la clientèle sont des atouts de différenciation majeurs bien plus sélectifs que la qualité du produit, tous les produits atteignant aujourd'hui heureusement une même qualité client. le modèle de management de l'AFDIE décrit ces actifs immatériels et aide à les prendre en compte dans une évaluation ou un plan d'action, un domaine neuf à investir
sur le site du HRIE, les premières règles pour l'action
L’une des dimensions de l’intelligence économique est de protéger
les actifs de l’entreprise. Or ces actifs sont, à l’heure actuelle, multiples
et très diversifiés au point qu’il devient très difficile d’en assurer une
couverture complète. Du vol de données sensibles contenus sur des supports informatiques
en passant par la dépréciation de la réputation ou de l’image de l’entreprise
ou encore des actes terroristes contre des bâtiments de production,
l’entreprise en fait de plus en plus les frais.
Les entreprises comme l’État font
désormais appel à un nombre croissant de partenaires extérieurs. Ce phénomène
de sous-traitance ou d’externalisation de services, souvent sensibles, soulève
de vraies questions en termes de sécurité des informations, des biens et des
personnes. Les entreprises et les administrations publiques démembrent de plus
en plus de fonctions parfois vitales et stratégiques, autorisant ainsi des
entités extérieures à accéder à leurs secrets et donc à leur "cœur de
métier" : audit, conseil, sécurité/gardiennage, maintenance
informatique, assurance, cabinets de traduction.
Cette perméabilité désormais
structurelle aux agressions extérieures constitue une vulnérabilité majeure.
L’exemple type du vol de données est
celui des ordinateurs portables dans les secteurs industriel et scientifique.
L’utilisation d’ordinateurs portables à des fins professionnelles est devenue
courante sinon banale.
Quelques entreprises ou cabinets de
conseil se sont spécialisés dans la récupération de données. Ce service peut se
révéler indispensable dans un monde où l’information interne à l’entreprise est
désormais presque intégralement sur support numérique. Pour autant, le sujet
devient sensible lorsqu’il s’agit de faire appel à ce genre de services et de
confier à une sous-traitance la récupération d’informations stratégiques.
la suite sur le site
http://www.intelligence-economique.gouv.fr
La démarche d’IE doit avant tout correspondre avec la culture
d’un pays et son organisation politico-administrative. Quelque soit le pays
dans lequel elle a été développée, sa réussite est nécessairement conditionnée par
l’adaptation que ses initiateurs en feront à des invariants sociétaux.
En France, la décentralisation a donné des pouvoirs de polices administratives
et d’organisation du tissu économique et social aux Préfets de régions et de
départements. De plus, l’implantation et l’expérience des chambres de commerce
et de l’industrie est une garantie de connaissance de l’économie locale et des
besoins des entreprises.
Dans son souci de soutenir les entreprises, l’Etat s’appuie sur ces dispositifs
locaux les plus appropriés et les plus compétents pour diffuser les pratiques
d’intelligence économique.
La dimension territoriale est une
composante importante du dispositif national d’intelligence économique mis en
place par le Haut responsable chargé de l’Intelligence économique,
M. Alain Juillet.
Le réseau des Chambres de commerce et
d’industrie est un des acteurs historique du système national d’intelligence
économique et de la communauté nationale de pratique qui l’anime.
D’autres initiatives sont mises en
place pour appliquer l’intelligence économique à l’échelon régional. En effet,
l’objectif commun est de permettre à des PME-PMI, qui n’ont pas forcément les
ressources d’acquisition et de mutualisation de l’information, de disposer des
outils et des moyens pour conduire leur développement. En se servant d’un
support opérationnel, ces entreprises peuvent avoir accès à un flux
d’informations de qualité et personnalisé suivant leurs besoins. Peuvent être
citées par exemple les initiatives de Décilor, de Vigilances ou de
Basse-Normandie.net.
le site très riche et documenté du Haut Responsable pour l'Intelligence Economique, Alain JUILLET, permet de retrouver toutes les dimensions d'une politique nationale d'intelligence économique; parmi les différentes rubriques, des conseils méthodologiques précieux qui nous aident à prendre un peu de recul face à la profusion des "gourous"
Définir les besoins en information
Une démarche d’intelligence économique doit commencer par une analyse précise
des besoins en informations des décideurs, des collaborateurs et des salariés
au sein de l’entreprise. Sur la base de ce travail, il revient à la direction
de dégager des priorités et de fixer en conséquence des orientations de
recherche d’informations.
Collecter l’information ouverte
On estime qu’environ 90 % de l’information utile à l’entreprise est publiée de
façon ouverte ; c’est ce que l’on nomme l’information
"formelle". Avec le développement des nouvelles technologies de
l’information, la masse de données disponibles est devenue énorme ;
identifier l’information pertinente dans ce flux sans cesse grandissant
nécessite de se doter d’outils informatiques adaptés.
Ne pas négliger l’information "informelle"
Pour autant, la petite proportion d’informations utiles non disponibles dans la
littérature ouverte est souvent celle offrant la plus grande plus-value à
l’entreprise. Il est possible de la collecter, dans un cadre légal et
déontologique, par un travail de réseau (entretien de contacts) et de terrain
(par exemple lors de conférences, de salons et de manifestations
professionnelles), et par un suivi permanent de nouvelles sources d’information
potentiellement utiles.
Hiérarchiser et traiter l’information recueillie
Pour qu’elle puisse réellement appuyer la décision, l’information doit être
évaluée, recoupée, analysée, synthétisée. Ce processus peut également s’appuyer
sur des outils de traitement avancé de l’information. Il doit aussi conduire à
consulter le cas échéant des experts des domaines traités.
Diffuser l’information à point nommé
Un processus d’intelligence économique efficace diffuse l’information
pertinente à la bonne personne, au bon moment, et sous la forme la plus
appropriée. Maîtriser la logique de circulation des données permet une
répartition réussie et ciblée, rendant possible une extension vers de nouveaux
décideurs. Pour ce faire, il est indispensable de bâtir un schéma de
circulation de l’information et d’instaurer une culture de l’échange au sein de
l’entreprise.
Mesurer la satisfaction des destinataires
La seule façon de s’assurer que l’information délivrée correspond aux besoins
du destinataire est de lui demander ! Ce retour permet d’évaluer l’intérêt
de l’information fournie pour coller au plus près aux attentes des décideurs et
agents opérationnels.
Protéger les données sensibles et le savoir-faire
Certaines informations et savoir-faire constituent un patrimoine précieux que
l’entreprise doit savoir protéger par les mesures informatiques,
organisationnelles, humaines et juridiques adéquates.
Influer sur l’environnement
L’information peut aussi être utilisée comme levier d’action permettant de
promouvoir ses intérêts dans un cadre légal (lobbying, communication
d’influence, utilisation d’Internet, etc.). Inversement, l’entreprise doit
demeurer vigilante face à l’emploi contre elle de ces méthodes ou même de
procédés illégaux comme la désinformation.
Bannir définitivement la naïveté tout en évitant de
verser dans la paranoïa
Il
Obtenir l’adhésion de tous
La réussite d’une démarche d’intelligence économique passe non seulement par la
maîtrise des métiers de l’intelligence économique par un ou des professionnels,
mais aussi par la participation active de tous les employés. La sensibilisation
au partage de l’information et à la culture de réseau est donc essentielle.
Elle suppose un engagement fort de la direction et de l’entreprise où chacun se
doit de recueillir l’information utile pour être en mesure de la transmettre
aux acteurs concernés.
http://www.intelligence-economique.gouv.fr
en attendant de mettre en ligne ici un fonds de veille stratégique sur le développement durable, voici un outil qui guidera les aps des débutants comme des veilleurs les plus avertis; à croiser avec l'agenda 21 nouvelle version qui vient très vite,